Salam und Hallo ... Also ich war echt "baff", als ich dieses Artikel gelesen habe und wollte ihn einfach mit euch teilen ^^ ...
unglaublich was da berichtet wird ... Es ist leider nur auf französisch ... Ich hoffe, dass die meisten das beherrschen ... ansosnten mach ich auch eine schnelle Übersetzung im Internet und stell es wieder hier ein :)
Les algériens seraient-ils racistes ?
C\'est sous le titre \"Les algériens seraient-ils racistes ?\" que Liberté nous propose son reportage sur le racisme que subissent les africains installés en Algérie. Une phénomène que nous devons combattre en misant sur l\'éducation aux valeurs de tolérance et de civisme.
=== immigration clandestine - Les algériens seraient-ils racistes ?
“Je n’aurai jamais cru que les Africains étaient racistes entre eux.” Racisme. Le mot est fort et choquant. Pourtant, les Africains se comportent comme tel.
“Et toi ! Le Noir ! Nigro ! Yal’kahlouche !” Ce sont les termes utilisés par les Algériens pour s’adresser aux Africains. Comme s’ils n’étaient pas Africains eux-mêmes. Comme s’ils étaient supérieurs.
Djabraïl a développé une forme d’autisme. Tellement il a entendu des expressions à la limite du racisme. Face à cette situation, il ne veut plus rien entendre des Algériens. Djabraïl vit à La Casbah avec ses compatriotes maliens. Ils payent 100 DA la nuitée dans une maison vétuste, alors qu’ils gagnent 150 DA par jour. “C’est le seul endroit où on est acceptés, la majorité des hôtels refusent de prendre le risque de nous héberger”, confie-t-il.
Djabraïl est un peu surpris lorsque nous lui avons posé cette question : “Comment se conduisent les Algériens avec vous ?” Il esquisse un sourire moqueur : “Je ne parlerai pas de la méchanceté des adultes. Nous y sommes habitués. Ce qui m\'effraie, c\'est le comportement des enfants. Que d’insultes dans leur bouche ! On ne peut plus marcher seul dans la rue, on s’arrange pour circuler tout le temps en groupe. Trop de haine. Trop d\'agression. Je suis tellement scandalisé que je ne réponds plus à leur remarque.” Son copain Abedou-Allah rougit quand nous lui avons demandé de nous répéter les injures qu’ils subissent au quotidien. “Ces insultes raisonnent encore dans mes tympans, mais il m’est difficile de redire ces horreurs surtout devant une femme. C’est inimaginable de voir des anges débiter un tel venin. Je blâme leurs parents qui les ont éduqués dans la haine et l’intolérance.” Notre présence devient ainsi une occasion pour ces clandestins de raconter leur vie ici en Algérie. Un groupe d\'immigrants de divers pays nous entoure.
Ces personnes nous racontent à tour de rôle l’inhospitalité algérienne à laquelle ils sont confrontés. “J’étais en train de marcher lorsqu’un policier m’a interpellé pour une simple vérification de papiers. Je lui ai montré mon certificat de demandeur d’asile, il l’a déchiré puis il me l’a jeté au visage avant de m’embarquer en me bousculant. Il a fallu faire appel à l’UNHCR, qui a dû engager une avocate pour me sortir de prison”, confie l’un d’eux. Un Sénégalais abonde dans le même sens : “Je suis passé l\'autre soir dans une ruelle, il y avait dans un coin un groupe d\'adolescents. J\'ai dit sl.gif alikoum. Personne n\'a daigné me rendre mon salut et certains me l\'ont rendu avec des pierres.” Bouba, un Nigérien, dit : “Dans le bus, les gens semblent mal à l\'aise en notre présence. Quand on entre dans un magasin pour acheter quelque chose, un article de 40 DA grimpe à 50, c’est à n’y rien comprendre !” Il nous parle longuement de sa galère dans les hôtels. “On se permet de fouiller notre petit bagage à notre insu. Souvent, on nous vole.” Certains se retrouvent sans aucun sou. Leur argent est souvent volé durant la traversée. À Dély Ibrahim, à quelques encablures du centre universitaire, des manœuvres et des travailleurs algériens nous accostent. “Engagez-nous, ne faites pas confiance aux Africains. On fait un meilleur boulot”, déclare un maçon algérien.
Il précise qu’avec l’arrivée des immigrants, le marché de la maçonnerie a baissé. “On gagnait jusqu\'à 1 200 DA par jour. À cause de ces Africains, le marché de la main-d’œuvre est tombé de moitié”, poursuit-il. Interrogé sur le lieu de regroupement des manœuvres étrangers, il refuse de nous indiquer l’endroit. “Je ne sais pas où ils se trouvent. Pourquoi vous insistez pour les voir ?” interroge-t-il. À quelques pas, dans une petite ruelle isolée, loin du regroupement des Algériens, les Africains se sont rassemblés. “Auparavant, on restait près de la fac pour se faire recruter à côté des manœuvres algériens, mais ils ont fini par nous chasser comme si c’était un endroit réservé pour eux. Nous nous sommes déplacés du côté de la supérette. Nous avons eu droit à une douche chaque matin pour nous éloigner”, dit Clément. Alors que le manœuvre algérien touche 700 DA la tâche, le travailleur africain n’a que 300 DA pour la même tâche.
“Actuellement, je n’emploie pas d’Africains mais je fais appel à eux de temps en temps. Ils sont robustes, travailleurs et n’exigent pas un salaire excessif. Je les paye 25 DA par sac transporté, ça leur fait 150 Da par jour. C’est bien !” déclare Nacer, entrepreneur à La Casbah. Djabraïl travaille en ce moment chez khalti Zineb. Il nous confie qu’après avoir été exploité, il s’est fait embaucher par une dame. “Elle s’occupe de moi comme si j’étais un membre de sa famille, elle me donne à manger et me paye même les jours de repos”, confie-t-il. Khalti Zineb nous révèle qu’elle a engagé le jeune Malien, le temps de restaurer sa maison à La Casbah. “C’est mon fils qui l’a ramené suite au départ de notre manœuvre. Il travaille bien et moi je lui donne ce qu’il mérite. Je le paye 50 DA pour chaque course, sans oublier les travaux à l’intérieur de la maison. Il arrive à gagner jusqu\'à 700 DA, comme notre ex-employé”, dit-elle. Par manque de pot, Youcef n’a pas eu la même chance. Il a travaillé chez un entrepreneur qui l’a exploité durant des mois avant de le livrer à la police. “Après un bref séjour en prison, j’ai été relâché. On se sent plus dépaysé en Algérie qu’en Europe”, conclut-il.
Source : liberté
Egal was passiert, man sollte immer "Gott sei Dank" sagen, denn es hätte schlimmer kommen können ;)
Traurig, aber es überrascht mich nicht. Rassismus gibt es ja seit jeher, auch in Algerien, nicht nur gegenüber Schwarzafrikanern, mittlerweile bekommen auch die Chinesen ihr Fett weg. Schlimm, dass die Kinder als Spiegel der Eltern fungieren. Die Erziehung und Moral lässt wohl überall auf der Welt nach. Wo bleibt die Nächstenliebe und der Respekt, die Achtung im Umgang miteinander?! Wo das noch hinführen mag......? Inshallah kheir!
Kein Problem Wahrania :) . Gerne ^^ ... Ich hoffe die Übersetzung ist verständlich ... Weil ich musste auch einige Ausdrücke und Begriffe umschreiben, da das Internet leider keine Metaphern oder Sinnlosen Sätze erkennt XD ... doofes Internet ^^
Also ... ein echt schockierender Artikel finde ich ... Aber wie DarkEyes schon sagte ... leider ist das mehr eine schlechte menschliche Eigenschaft, die eigentlich überall auf der Welt zu finden ist ... Aber man muss sich das eben klar machen... nicht dass man selber "blind" wird und in diese Rolle eintaucht, ohne es zu wissen .... ... also dann schöne Grüße und salam :)
Sind die Algerier rassistisch geworden?
Unter dem Titel "Sind die Algerier rassistisch geworden?" berichtet uns die Zeitung "Liberte" über den Rassismus, denen die afrikaner, die in Algerien leben, ausgesetzt sind. Ein Phänomen, das bekämpft werden sollte, indem die Erziehung der Toleranz-Werte und Zivilcourage mehr befördert werden sollte.
=== Illegale Einwanderung - Sind die Algerier rassistisch geworden?
"Ich hätte nie gedacht, dass die Afrikaner rassistisch untereinander wären." Rassismus. Das ist laut und schockierend. Doch die Afrikaner verhalten sich auf diese weise.
"Hey du ! Schwarzer ! Negro! Ya l'kahlouche! ( bedeutet "Schwarzer" in algerisch) " Das sind die verwendeten Begriffe der Algerier um die Afrikaner anzusprechen. Als ob sie selbst keine Afrikaner wären. Oder als ob sie was"höheres" wären.
Djabraïl hat eine Form von Autismus entwickelt. So hörte er Ausdrucksformen an der Grenze zum Rassismus. Angesichts dieser Situation, will er nichts mehr hören von den Algeriern. Djabraïl lebt in der Kasbah mit seinem Landsmann aus Mali. Sie zahlen 100 DA für die Übernachtung in einem alten Haus, während sie 150 DA pro Tag vedienen. "Das ist der einzige Ort, wo wir akzeptiert werden, die meisten Hotels verweigern das "Risiko" uns zu beherbergen", sagt er.
Djabraïl ist ein wenig überrascht, als wir diese Frage gestellt haben: "Wie verhalten sich die Algerier mit Ihnen?" Er weist ein spöttisches Lächeln auf : "Ich spreche jetzt nicht von der Bosheit der Erwachsenen. Wir sind daran gewöhnt. Was mich trifft, ist das Verhalten der Kinder. Wie z.B. die Beleidigungen aus ihren Mund! Man kann nicht mehr allein auf der Straße gehen, wir arrangieren uns, sodass wir die ganze Zeit in der Gruppe gehen. Zu viel Hass. Zu viel Aggression. Ich bin so schockiert, dass ich nicht mehr auf ihre Bemerkung reagiere." Sein Kumpel Abedou-Allah wurde rot, als wir ihn fragten uns die Beleidigungen zu nennen, die sie im Alltag ausgesetzt sind. "Diese Beleidigungen schallen noch in meine Ohren, aber es fällt mir schwer diese schrecklichen Dinge wieder zu nennen, vor allem vor einer Frau. Es ist unvorstellbar zu sehen, dass die unschuldigen Engel (d.h. die Kinder) ein solches Gift aussprühen. Ich gebe aber deren Eltern die Schuld, die sie im Hass und Intoleranz erzogen haben." Unsere Präsenz wird so eine Gelegenheit, die diesen illegalen Einwanderer die Möglichkeit gibt, uns über ihr Leben hier in Algerien zu erzählen. Eine Gruppe von Einwanderern aus verschiedenen Ländern sind um uns herum.
Diese Menschen erzählen uns abwechselnd die algerische Unfreundlichkeit, zu der sie konfrontiert sind. "Ich war in dabei zu gehen, als ein Polizist mich aufhielt, um eine einfache Überprüfung der Papiere zu machen. Ich habe ihm mein Zertifikat als Asylbewerber gezeigt, er nahm es, hat es zerrissen und dann hat er es mir ins Gesicht geworfen. Dann nahm er mich drängelnd mit. Es musste an das UNHCR ein Anruf verrichtet werden, sodass ich einem Anwalt engagieren musste, um mich aus dem Gefängnis rauszuholen", erählte einer von ihnen. Ein Senegalese ist der gleichen Ansicht: "Ich bin eines Abends in einer kleinen Gasse gelaufen, und in einer Ecke stand eine Gruppe von Jugendlichen. Ich sagte "salam aleikum". Niemand hat Wert darauf gelegt zurück zu grüßen. Und einige haben mich sogar mit Steinen beworfen." Bouba, ein Nigerianer, sagt:" In dem Bus scheinen die Leute unwohl in unserer Anwesenheit zu sen. Wenn man in ein Geschäft geht, um etwas zu kaufen, so wird ein Artikel, der 40 DA kostet, sogar zu 50 DA. Das verstehe ich nicht! " Er erzählt ausführlich von seinen Erlebnissen in den Hotels. "Man lässt zu, dass unser kleines Gepäck durchsucht wird, ohne uns zu informieren. Oft werden wir bestohlen." Einige finden sich ohne Gepäck wieder. Ihr Geld wird häufig gestohlen während der Überquerung der Grenze. In Dely Ibrahim, nur wenige Schritte vom Universitätszentrum, treffen wir auf algerische Arbeiter. "Stllt uns ein! Vertraut nicht den Afrikanern. Wir machen einen besseren Job ", sagt ein algerischer Maurer.
Er erläutert, dass mit der Ankunft von Einwanderern, der Markt des Mauerwerks zurückgeht. "Man gewinnt bis zu 1200 DA pro Tag als Maurer. Auf Grund dieser Afrikaner, ist der Handwerker-Gehalt die Hälfte gefallen ist ", fährt er fort. Als wir ihn nach dem Ort fragten, wo sich die ausländischen Arbeiter aufhielten, so verweigerte er uns die Antwort. "Ich weiß nicht, wo sie sich befinden. Warum besteht ihr denn darauf sie zu sehen? "Fragt er. Nur wenige Schritte, in einer kleinen Gasse isoliert, entfernt von dem Viertel der Algerier, sind die Afrikaner zusammen gruppiert. "Früher, so blieben wir in der Nähe der Uni, um uns neben den öffentlichen Einrichtungen der algerischen Bewohner zu integrieren, aber schließlich haben sie uns davon gejagt, als ob der Platz für sie reserviert wäre. Wir sind umgezogen auf einer Seite, wo ein Minimarkt steht. Wir haben Anspruch auf eine Dusche jeden Morgen gehabt, um uns schließlich zu verziehen"( "Bin mir über die Übersetzung dieses Satzes nicht sicher ^^ ) , sagte Clement. Während der algerische Arbeiter 700 DA für eine erledigte Aufgabe bekommt, so erhält der afrikanische Arbeitnehmer nur 300 DA für die gleiche Aufgabe.
Derzeit stelle ich keine Afrikaner ein, aber ich appelliere an sie, von Zeit zur Zeit. Sie sind robust, arbeitstüchtig und fordern keinen hohen Gehalt. Ich zahle 25 DA pro transportierten (50kg-)Sack, sodass sie ca.150 Da pro Tag bekommen. Das ist gut! ", Sagt Nacer, Unternehmer in der Kasbah. Djabraïl arbeitet im Moment bei "khalti" (Kosename für Tante mütterlischerseits) Zineb. Er sagt uns, dass erst nachdem er ausgenutzt wurde, wechselte er und ließ sich von einer Dame einstellen. "Sie kümmert sich um mich, als wäre ich ein Mitglied der Familie. Sie gibt mir zu essen und ich werde auch für die Ruhe-Tage bezahlt", sagt er. Khalti Zineb erzählt uns, dass sie den jungen Mann aus Mali eingestellt hat, für die Zeit, in der ihr Haus in Casbah restauriert wird. "Es ist mein Sohn, der Ihn für die weiterbearbeitung unseres Hauses gebracht hat. Es arbeitet gut, und ich bezahle ihn für das, was er verdient. Ich zahle 50 DA zu jede erledigte Arbeit, aber nicht zu vergessen auch für die Arbeiten im Inneren des Hauses . Er schafft bis zu 700 DA, wie unser ehemaliger Arbeiter ", sagt sie. Aus dringenden finanziellen Gründen, hatte Youcef nicht die gleiche Chance gehabt. Er musste bei einem Unternehmer arbeiten, der ihn für Monate ausnutzte bevor er ihn an die Polizei auslieferte. "Nach einem kurzen Aufenthalt im Gefängnis, wurde ich freigelassen. In Algerien fühlt man sich mehr im Ausland als in Europa ", fügt er hinzu.
Quelle: Zeitung "Liberté"
Egal was passiert, man sollte immer "Gott sei Dank" sagen, denn es hätte schlimmer kommen können ;)
soll ich jetzt sagen, das ist ja schön, dass es überall auf der welt gleich zugeht und wir alle doch nicht so verschieden sind? gerade wo viele muslime doch darauf pochen "die besseren menschen" zu sein, wird so mit den leuten umgegangen, ihre notlage ausgenutzt. am aller schlimmsten finde ich aber, wie schon kindern der hass auf andersartige eingeimpt wird.
LG
Grit
Was immer passiert, tue immer so, als wäre es genau deine Absicht gewesen. Paul Dickson
Neee, also "schön" wäre der falsche Ausdruck für diesen Artikel ^^ ... Abeeer es ist nunmal die Realität!!! Ich denke aber nicht, dass es so extrem ist, wie im Zeitungsbericht geschrieben steht. Es ist mehr die Ausnahme als die Regel, denke ich. Aber es ist da !!! ( man darf diese Fälle nicht unterschätzen ...) ... Du weisst ja... vorallem die Presse, aber auch einige Menschen wollen immer spektakuläres berichten, um die Aufmerksamkeit zu bekommen um alles zu dramatisieren... Solchen Rassismus gibt überall auf der Welt... Man muss ihn erstmal erkennen, um Ihn bekämpfen zu können ;) ... Deshalb habe ich diesen Artikel auch zum Lesen geholt ...
Und wahrania, du musst stets unterscheiden. Denn wenn diese Algerier "richtige" Muslime wären, dann würden sie sowas nicht machen. Leider vernachlässigen viele Algerier heutzutage ihren Glauben ( den Islam zu 99% ) und das ist eben was dabei rauskommt. Denn ein Moslem / Muslima würde sowas niemals tun können/ dürfen. Und wenn die Eltern dann schon abgewischen sind (von den Grundideen des Islams), dann kanns ja nur schlimmer werden mit den Kindern... Das ist das Problem... Nicht nur in Algerien ...
Aber wichtig ist zu wissen, wie die Realität aussieht und nicht immer nur "Friede, Freude, Eierkuchen" denkt... ( das ist jetzt allgemein an alle gerichtet ;) ) Mehr als unseren Umfeld zu "belehren" bzw. warnen ( ihr wisst schon was ich meine, hoffe ich XD ) ... können wir leider nicht machen... Aber wenn das Jeder auf die richtige Weise macht, dan kann es ein ganzes Gesellschaftsbild zum guten ( hoffe ich, inshaallah ) verändern :)
schöne Grüße und Salam
Egal was passiert, man sollte immer "Gott sei Dank" sagen, denn es hätte schlimmer kommen können ;)